L'échec de la batterie amovible passant sous la voiture, au lieu de passer par le côté, comme le chargement d'un DVD ou d'une cassette vidéo, type AG2050, ainsi que les échecs industriels et commerciaux, sur fondements stratégiques individuels conduisent au sabotage d'une technique précieuse pour l'usager. Et ce n'est pas tout.
Voyez-vous la différence entre installer une plateforme de location dans une commune satellite d'agglomération, plutôt qu'en plein centre de cette ville?
En centre ville, les usagers ont tout, produits et services, dans un mouchoir de poche, tout peut se faire à pied, au pire en transports en commun déjà bien implantés. Pas besoin du V.E..
En périphérie, il faut rejoindre les centres névralgiques et c'est là qu'il faut baser le V.E., d'autant que les transports en commun s'y essoufflent.
Il faut absolument retirer la stratégie de la voiture électrique et son environnement des mains du politique qui affiche voiture électrique, mais pense transports en commun, qui pense que l'on pourrait encore marger sur le dos de cette pauvre voiture, qui pense que le pétrole va encore tenir longtemps.
Sans faire de favoritisme, sans parti pris, il faut reconnaître que seul RENAULT a intégré le problème. Comme il avait été demandé à HEULiEZ en temps et en heure de trouver accord avec RENAULT, les constructeurs ont intérêt à faire pot commun et aller tous dans le même sens sous peine de disparaître de la scène.
La voiture électrique doit plus ressembler à une tour de PC, un lave linge, une mini centrale, qu'à une voiture thermique.
Sans ce consensus des constructeurs, la technologie fera du sur place et le reste de l'économie aussi.
Enfin dernier point, le V.E. ne fera aucune ombre à la voiture thermique. CQFD.
Patrick GEFFRAULT
